Le traumatisme fait partie de la vie. Et le corps en garde des traces et une mémoire qui
imprègne nos émotions. Le psychiatre Bessel van der Kolk a passé quarante ans à soigner des
survivants. En racontant les histoires vécues par ses patients (vétérans, femmes et enfants
maltraités, victimes d’accidents ou d’agression), il entraîne le lecteur dans un parcours
passionnant à travers les méandres du syndrome du stress post-traumatique.
Conscient que les premières victimes du traumatisme sont les enfants, Bessel van der Kolk s’y
consacre pleinement. Le plus grand espoir des jeunes traumatisés, maltraités et négligés, c’est
l’école. Ilot de sécurité, l’école peut offrir la résilience nécessaire pour supporter les
traumatismes sociaux et familiaux. L’école où la chorale, l’éducation physique ou simplement
la récréation sont aussi importants que d’étudier les maths et le français aux yeux du
psychiatre américain. Ce sont ces pratiques qui vont véritablement aider les enfants à sortir du
traumatisme. Vaste problème de santé publique, Bessel van der Kolk considère que le
traumatisme et la politique sont indissociables. Il milite en faveur d’une grande prise de
conscience collective : le traumatisme doit devenir une grande cause nationale.
Unique en son genre, ce livre, traduit en quinze langues, conjugue neurosciences, pratique
clinique et réflexion sur la maladie. Il montre notre extraordinaire capacité à souffrir, mais
aussi à guérir, en offrant de nouveaux espoirs pour retrouver goût à la vie. Et les voies de la
guérison sont pour le moins étonnantes et multiples : théâtre, EMDR, yoga, neurofeedbacks
ou méditation ont fait leurs preuves auprès de ses patients.
L’AUTEUR
Bessel van der Kolk, psychiatre américain d’origine néerlandaise, spécialiste du syndrome de
stress post-traumatique, professeur de psychiatrie à la Boston University, a fondé le Trauma
Center de Boston.
Editions Albin Michel
imprègne nos émotions. Le psychiatre Bessel van der Kolk a passé quarante ans à soigner des
survivants. En racontant les histoires vécues par ses patients (vétérans, femmes et enfants
maltraités, victimes d’accidents ou d’agression), il entraîne le lecteur dans un parcours
passionnant à travers les méandres du syndrome du stress post-traumatique.
Conscient que les premières victimes du traumatisme sont les enfants, Bessel van der Kolk s’y
consacre pleinement. Le plus grand espoir des jeunes traumatisés, maltraités et négligés, c’est
l’école. Ilot de sécurité, l’école peut offrir la résilience nécessaire pour supporter les
traumatismes sociaux et familiaux. L’école où la chorale, l’éducation physique ou simplement
la récréation sont aussi importants que d’étudier les maths et le français aux yeux du
psychiatre américain. Ce sont ces pratiques qui vont véritablement aider les enfants à sortir du
traumatisme. Vaste problème de santé publique, Bessel van der Kolk considère que le
traumatisme et la politique sont indissociables. Il milite en faveur d’une grande prise de
conscience collective : le traumatisme doit devenir une grande cause nationale.
Unique en son genre, ce livre, traduit en quinze langues, conjugue neurosciences, pratique
clinique et réflexion sur la maladie. Il montre notre extraordinaire capacité à souffrir, mais
aussi à guérir, en offrant de nouveaux espoirs pour retrouver goût à la vie. Et les voies de la
guérison sont pour le moins étonnantes et multiples : théâtre, EMDR, yoga, neurofeedbacks
ou méditation ont fait leurs preuves auprès de ses patients.
L’AUTEUR
Bessel van der Kolk, psychiatre américain d’origine néerlandaise, spécialiste du syndrome de
stress post-traumatique, professeur de psychiatrie à la Boston University, a fondé le Trauma
Center de Boston.
Editions Albin Michel