
La bougie a été inventée au milieu du Moyen-âge. Son « ancêtre », la chandelle, était constituée de joncs trempés dans de la graisse animale : le suif (graisse de mouton ou de bœuf). Le suif taxé mais tout de même peu onéreux à l’époque a l’inconvénient de couler, la flamme obtenue éclaire difficilement, sa fumée reste noire et épaisse et d’une très mauvaise odeur.
En Occident, à partir du Moyen Âge, la chandelle rivalise avec la lampe à huile ayant cependant elle aussi des inconvénients. La lampe à huile réclame une attention constante pour la remplir, couper la mèche et nettoyer le gras qui coule.
L’évolution de la bougie a permis progressivement de remplacer le suif par la cire d’abeille, à l’époque réservée essentiellement aux nobles et au Clergé au vu des prix excessifs.
Le mot « bougie » n’apparut dans la langue française qu'au XIVème siècle. La bougie comme telle se distingue alors de la chandelle par sa matière première, la cire d'abeille, et par l'utilisation de mèches de coton tressé puis la bougie stéarique (à base d'un acide gras particulier : l'acide stéarique) remplace définitivement en 1825 la chandelle de suif.
Avec les années et notamment la révolution industrielle vint l’apparition de la paraffine solide (distillat du pétrole) beaucoup moins onéreuse. Vinrent aussi d’autres cires végétales diverses permettant la production de bougies plus variées.
source : http://www.aroma-zone.com
En Occident, à partir du Moyen Âge, la chandelle rivalise avec la lampe à huile ayant cependant elle aussi des inconvénients. La lampe à huile réclame une attention constante pour la remplir, couper la mèche et nettoyer le gras qui coule.
L’évolution de la bougie a permis progressivement de remplacer le suif par la cire d’abeille, à l’époque réservée essentiellement aux nobles et au Clergé au vu des prix excessifs.
Le mot « bougie » n’apparut dans la langue française qu'au XIVème siècle. La bougie comme telle se distingue alors de la chandelle par sa matière première, la cire d'abeille, et par l'utilisation de mèches de coton tressé puis la bougie stéarique (à base d'un acide gras particulier : l'acide stéarique) remplace définitivement en 1825 la chandelle de suif.
Avec les années et notamment la révolution industrielle vint l’apparition de la paraffine solide (distillat du pétrole) beaucoup moins onéreuse. Vinrent aussi d’autres cires végétales diverses permettant la production de bougies plus variées.
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